Description
:
Malgré
les fortes gelés de cette nuit, avec un ami de
pechemaniac
mic.peche nous sommes allez dans un bras mort de la Moselle
pecher à Scy-Chazelles, d'après Michael les brèmes
sont rentrés et les scores à faire sont exceptionnels. La
Moselle comme la plupart des rivières regorge de bras mort,
c'est
l'endrois que les poissons choisissent pour passer l'hiver à
l'abris du courant souvent violent en cette période à
cause des pluis, d'ailleurs la semaine il a plut presque tous les
jours, les poissons sont donc plus que j'amais à l'abris dans
les coins plus calmes. En cette fin de semaine c'est le soleil et le
gel qui ont
remplacé ces pluies bien que la moselle ai un courant
très fort, les conditions sont donc bonnes pour pecher sans
être trempé et les chances de prendres du poissons sont
importantes.
Samedi 22 janvier 2005
:
Michael et moi nous sommes donnés
rendez-vous sur une aire de repos de l'autoroute, je ne connais
pas le lieu de pêche ou il m'amène. Après un
échange de courtoisi je le suis jusqu'à notre lieu de
pêche. Il y a déjà un pêcheur mais il ne
semble pas prendre grand chose, nous verrons bien, installons-nous,
amorçons et on verra. Sur la photo au loin nous voyons ce
pecheur, chacun sort son matériel, les paniers sièges
sont déjà en place, l'amorce est en train de gonfler.
L'endrois ou nous avons décidé de pecher est tout proche
(50 m) de la moselle, les péniches se succèdent l'une
après l'autre, une vrai autoroute. Nous sommes entre le bras et
la moselle. Le bras sert de port à de nombreuse embarcations,
michael qui connais très très bien le coin décide
de pecher près d'un vieux bateaux. Cet endrois est fortement
peché par les cormorans, du coup les poissons se cachent sous
les embarcations. Nous pecherons en américaine à 11
mètres et nous conserverons une ralonge pour aller à 13
mètres au cas ou, le plus près possible du bateaux.
Michael
entrain de monter sa canne. Ce bras est tout proche de la moselle et
à 150 mètres de notre coup se trouvent la moselle qui
comunique directement avec le bras. Les conditions de pêche sont
proches de celle d'un canal, profondeur moyenne de 3 mètres et
courants de temps en temps suivants le passage des bateaux sur la
moselle.

L'amorce est donc une amorce pour pecher la brème (poisson
dominant) en canal. Sachant que nous sommes en hiver nous ajoutons un
peu moins de la moitié de terre de rivière. L'amorce est
très collante mais puisque nous mettrons des pimkies dans
l'amorce, cela n'est pas grâve, les pimkies déliterons
l'amorce une fois sur le fond. La formule est 1 paquet d'amorce fond
sensas, 1 paquet de rivière et 1 paquet de brème avec un
demi paquet de chenevis grillé pour que l'amorce travaille un
peu plus vite malgré tout.
Les touches se font attendre et nous
commençons en pechant des poissons d'une taille incroyablement
petite! Ils font 10g à tout casser. Michael commencent par
fronder des pimkies sur le coup, espérant ameuter des poissons
bien plus gros. Quelques gardons et rotengles un peu plus gros viennent
se faire prendre. Finalement de jolies brèmes de 500 grammes et
des beaux gardons commencent à rentrer. Bien que nous
aillons des poissons, c'est difficile et il y a de nombreux trous.
Michael pourtant frondes toutes les minutes des pimkies, les petits
poissons qui causaient beaucoup de fausse touches au début
semble partie, c'est signes que les grosses baveuses sont sur le poste
mais c'est très difficile d'en prendre une et elles machouillent
l'esche sans que l'on vois la moindre touche; les brèmes sont la
et
belle et bien la mais mordent mal. Nous changeons sans cesse notre fond
pour trouver la peche idéal mais c'est très difficle
malgré tout. A ce petit jeu Michael s'avèrent très
fort pour attraper les brèmes par tout les endrois possibles sur
le corp du poisson mais moins dans la bouche. Etant moins
spécialiste il est vraiment rare que j'en attrape une par le
flant ou par une nageoire. Nous avons essayé de nombreuse
technique avec 30 centimètres de plus que le fond, peche
à décoler, peche à 13 mètres rien n'y fait,
c'est dans l'amorce le plus efficace et peu importe le fond pourvu que
l'on traine, le poisson
se prend mais très difficilement. Cela n'empeche pas au
contraire que la bonne humeur soit au rendez-vous, sur la photo de
gauche, la café est de sortie pour nous reveiller un peu et nous
rechauffer legèrement.
La journée se passe malgré tout très bien et nous
prenons du poisson mais moins régulièrement que nous le
voudrions. Il est 15h et d'un seul coup plus rien, Michael
décide de rappeler sur le coup au large et de mettre 3 boules en
bordure pour pecher en attendant des gardons. Quand à moi je
continuerais à pecher au large. Le 1/2 litre de pimkies
étant fini, Michael rappel aux gozzers. Après quelques
petits poissons pris en bordure, j'attrape de nouveau une belle
brème de 750 points. Michael me rejoint et c'est repartie. Mais
pendant un long moment Michael attrape du poisson et moi rien. Je
décide de mettre le plus de fond possible (je traine au moins de
50 cm si c'est pas plus), j'ai 20 centimètres de banière,
je remonte assez haut mes plombs, du coup malgré le courant ma
ligne reste bien immobile. Et la enfin ce sont de vrai touche franche.
J'ai enfin trouvé la peche, Michael rigole car sans me le dire
après le rappel il pechait comme cela. Il
décide de trainer encore plus en rajoutant un bout de fil
à la banière. Les touches se succèdent plus vite
mais il est temps de remballer!

Il est pas loin de 17h la mort dans l'âme nous plions bagages!
Puis
vient le moment phare de la journée la pesé. On commence
par ma bourriche, j'ai 9 kg de plaquettes, mais j'ouble de prendre mes
poissons en photos trop occupé que je suis à
vérifier le pesons. Puis viens le tour de Michael, 15kg le
sceau plein, je suis nettement battus, aussi bien sur le nombre que sur
le poids! Je me console en me disant que les miennent ont
été attrapés par la bouche. Pour une peche d'hiver
c'est super bien. J'en redemande.

Nos péripecient ne s'arretent pas en tout cas pour Michael qui
doit traverser Metz par l'autoroute pour allez à Luxembourg, il
y
a le match de football Metz-Marseille à 17h15 (stade comble) et
l'autoroute qui coupe la ville en deux malgré 3 vois est
complètement bouché, et puis il y a les soldes les deux
l'un dans l'autre ont crée un bouchon gigantesque. Je
décide de prendre la nouvelle rocade Est qui malgré un
détour de 10 kilomètres me permettra de rentrer
tranquillement. Je part donc en direction de Nancy et 7
kilomètres plus prend la rocade qui me permet de contourner la
ville par l'est. Je sais pas si Michael est rentré vite mais
j'ai perdu 5 à 10 minutes par rapport à la route normal
alors que si
j'étais resté dans le bouchon je sais pas à quelle
heure je serais rentré, domage que Michael ne m'ai pas suivi car
la rocade permet de rejoindre l'autoroute au nord de Metz, donc
d'éviter le bouchon. Tout ça pour perdre 1-0 (je parle
du foot bien sur)!! Pas besoin de nous faire des bouchons, les gens
auraient du rester chez eux.
Analyse
de
la
journée :
Michael m'a fait découvrir un parcours exceptionnel pour
pouvoir prendre du poisson en hiver. La peche a été
très dure, mais après cette journée nous savons ce
qu'il convient de faire pour prendre du poisson plus facilement.
Trainer fortement sur le fond, amorçage de départ
massif et agrainage uniquement aux gozzers bien
dégraissés. Les pimkies sont un peu trop leger (les
petits
poisons ont le temps d'en attraper pas mal avant qu'il n'atteignent
le fond) et trop petit pour permettre de tenir les brèmes. En
somme il n'y avait pas assez de viande sur le coup, en cette
période les brèmes mangent peu d'amorce. Le rappel
à l'amorce était à proscire (encore que si y'a
plus rien c'est pas néfaste, pas si les poissons sont la) le
pecheur qui etait
la avant nous l'a appris à ses dépends!
Michael qui a plus peché sur l'amorce et à donc
fatalement arponé plus de poissons, ce qui lui à procurer
encore plus de sensation, car une brème attraper par la queue
par exemple se débat plus qu'une attrapé par le museau.
Nous avons passé un excellent samedi de pêche et ça
donne qu'une envie, c'est d'y retourné. Le froid nous a pas trop
dérangés car nous avons été en mouvement
grâce aux poissons attrapés.
Michaël
et Christophe
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